HISTOIRES X
Trio
Je me trouve dans la chambre d’hôtel que nous avons louée. Elle est très confortable (Heureusement !
C’est un quatre étoiles, quand même !). Le lit est prêt et moi je suis
lovée dans un fauteuil, avec mon petit haut transparent, qui
révèle un joli soutien-gorge, et une jupe sur des jambes nues.
A l’affût de tous les bruits, j’entends subitement parler : je me précipite alors vers la porte et je vois effectivement arriver deux hommes, mon compagnon – Yohann – et un homme plus âgé – Arthur – que je ne connaissais jusqu’à présent que via une application dédiée aux libertins. Vous l’aurez deviné, nous sommes maintenant dans le « Et plus si affinités … ».
Je retrouve mon fauteuil et les hommes s’assoient au bord du lit. Nous échangeons des banalités … c’est surréaliste ! Yohann finit quand même par parler de sexualité et de ce que nous attendons de cette rencontre.
A l’approche de 21 Heures, je lui dis : « Tire le rideau, on va y aller ». Je me lève et commence à me déshabiller : je ne garde que mon slip. Alors Yohann invite notre ami à venir me caresser en même temps que lui. Je commence à jouir …
Arthur se déshabille à son tour et j’en profite pour le caresser au fur et à mesure du haut en bas. Son pubis très poilu entoure un sexe déjà bien en érection : il est grand mais pas très gros. Je suis impatiente de le sucer. Le temps de lui mettre un préservatif et c’est parti ! La nouveauté a du bon, surtout que j’adore les grands sexes … Et mon partenaire semble apprécier mes services, surtout quand je me mets à lui prendre les testicules à pleine bouche !
Yohann a les yeux qui brillent quand Arthur m’enlève mon slip et découvre ce que j’ai de plus intime. Je relance la fellation, tandis que mon tendre époux entame un cunnilingus qui pourrait bien me mener à l’orgasme. Mais ce ne sera pas le cas car il s’interrompt pour se déshabiller à son tour … Arthur et moi parcourons son corps du regard : là, on y est vraiment ! Je me mets à les sucer tour à tour, tout en m’imaginant pénétrée bien profond … Du rêve à la réalité, il n’y a qu’un pas ! Alors, je demande à Yohann de s’allonger et je viens m’empaler sur son pieux : il semble ravi. Mais Arthur doit se sentir un peu abandonné car il approche et me remet son sexe dans la bouche. Quel délice ! Je voudrais que ça ne s’arrête jamais …
Mais tout ça n’est pas très tenable et je me retire … Notre invité
me dit qu’il aurait aimé que je continue. Alors je viens me frotter un peu
contre lui pour m’excuser de cette interruption et je reprends de plus belle,
tout en me plaçant en levrette pour mon mari. Une fois le sexe bien enfoncé, il
commence à me pilonner de plus en plus vite et impose son rythme à ma
fellation. Puis, subitement, il éjacule, ce qui me déclenche un orgasme …
Après tant d’efforts, nous décidons de faire une petite pause, en parlant de tout et de rien.
C’est moi qui redonne le signal du départ, avec une envie irrépressible de continuer à les éblouir tous les deux. Arthur sur le lit, reprise de la fellation en gorge profonde … tout en m’offrant totalement à Yohann pour son cunnilingus ! Mais, surprise, il se met à me pénétrer avec une belle fougue … Il sait que j’aime être prise de force. Et, quand il ajoute de rapides caresses de mon clitoris alors même que mon amant du jour commence à haleter, je ne peux retenir un orgasme.
Comme ce soir je suis
la reine, je décide de m’installer en Andromaque sur Arthur, avec le sexe de
mon mari en main, pour passer ensuite en levrette, le sexe de Yohann cette fois
dans la bouche : un autre orgasme en vue ?
Mais mon étalon du jour
semble désireux de s’adonner à la position de la « cuillère ». Je
cède donc à sa sollicitation. Malheureusement pour lui, j’ai un époux … qui se
sent un peu seul … Je lui réimpose donc une Andromaque : Yohann finit par
se dérider et me passe ses mains sur le corps, insiste sur mes fesses, puis les
écarte et me sodomise … Nous n’avions jamais essayé mais, une fois les
premières douleurs dissipées, j’avoue que c’est aussi prodigieux que les
adeptes le décrivent ! Et, surprise : Arthur veut une double
pénétration … Quasiment obligée d’accepter, je me laisse faire. J’ai
l’impression d’être écartelée ! Mais, là encore, l’inconnu se révèle être
un Eden. Quelle jouissance d’être pénétrée par deux hommes simultanément,
réunis dans la conviction que je vais leur provoquer une éjaculation
irrépressible ! Nos ébats vont s’arrêter là-dessus. Notre invité aura
vraiment été un bon choix …
Après un bain ultra-relaxant, je redemande une bonne pénétration à mon mari bien-aimé pour terminer les réjouissances. Nous parlons en même temps de cette soirée qui fera date (Je me suis sacrément lâchée, non ?) et cette évocation, jointe à la fougue de Yohann, me déclenche un ultime orgasme … enfin, pour cette fois, car j’ai très envie de remettre le couvert !
Et
si mon récit vous a plu, envoyez un message au site : je reviendrai
peut-être vous raconter la suite ! Bises.
Virée en mer
J’avais été invitée par Valérien à passer une semaine sur sa vedette. Son frère devait être là également, avec deux amies, mais il s’était décommandé à la dernière minute. Par contre, les filles – Hélène et Andrée – étaient venues.
Valérien a une réputation de tombeur car il fait, parait-il, très bien l’amour. Mon objectif était donc de le tester, même si le tête-à-tête allait être difficile.
Dès qu’il a commencé à virer vers le large, nous sommes parties dans le carré pour nous mettre en maillot de bain. Et, comme par hasard, Hélène en profite pour nous dire qu’elle veut passer du bon temps avec Valérien et, joignant le geste à la parole, elle se met en topless, dévoilant une petite poitrine aux mamelons de brune. Andrée se joint au mouvement et nous révèle de gros seins, avec de petits mamelons roses. Il ne me restait plus qu’à suivre, en arborant une poitrine dans la bonne moyenne ! Et que la meilleure gagne !
Nous retrouvons donc Valérien, à son avantage dans un slip mettant bien en valeur son anatomie, mais qui semble blasé des seins nus. Il nous lâche quand même « On se laisse aller ? », ce à quoi Hélène rétorque « OK, personnellement, j’avoue : j’ai envie de te séduire, Mais t’inquiète, ça restera entre nous ! ». Et, de façon inattendue, Andrée se plante face à lui, en lançant « On pourrait même faire un truc à quatre, ce serait plus excitant ! ». Hélène et moi sommes restées sans voix … mais qui ne dit mot consent …
Je remarque alors que son sexe gonfle sous son maillot de bain. Une fois la surprise passée, il répond avec un sourire « Là vous m’épatez … C’est vrai que vous êtes motivantes, mais je ne suis pas un garçon facile ! ». Pour vaincre cette dernière résistance, Andrée enlève son string ficelle et exhibe son pubis rasé sans aucune pudeur, parole à l’appui : « Je sens que je commence à lubrifier, ça ne te fait pas envie ? ». Hélène renchérit : « On voit bien que tu es en érection, alors allons-y, on n’est plus des enfants … ».
L’invitation semble être efficace : son sexe ne demande qu’à sortir du
slip. Hélène baisse alors le sien, dévoilant un pubis très poilu, et s’empare
du sexe de Valérien à pleine main. Il est grand mais fin … Elle commence à le
lécher sur toute sa longueur, ce qui provoque chez notre ami une tentative
d’opposition ! « Je ne veux pas de vidéos sur Internet : on peut
encore nous voir ! ». Ca n’arrête pas Hélène, qui poursuit par une
masturbation en s’excitant le clitoris, …
Andrée prend ensuite le relais en le suçant. Je me prépare à mon tour, en
enlevant mon maillot. Valérien n’en peut plus, mail il arrive à se retenir
malgré tout ce qu’il subit. Finalement, ce sont les filles qui ont abandonné
les premières !
« Bon maintenant, c’est moi qui vais vous dominer ! »
Et Valérien passe derrière Hélène, il lui caresse les hanches, l’enserre par la
taille, puis il lui demande de se plier vers l’avant et démarre un cunnilingus.
Débordée par le plaisir, elle chancelle sur ses jambes et lui prend alors le
sexe pour l’enfoncer dans son vagin. Valérien va jusqu’au fond par pressions
progressives : que c’est beau à voir un couple en action …
Après une série de va-et vient, c’est au tour d’Andrée, à qui il demande une branlette espagnole : une tuerie ! Enfin, c’est à moi, il m’enserre dans ses bras, puis il m’inflige un cunnilingus qui me fait terriblement mouiller et me provoque orgasme sur orgasme. Il finit par me rendre ma liberté et Hélène en profite pour masturber de nouveau son sexe toujours raide : elle poursuit par une fellation bien à fond.
L’éjaculation ne venant pas, elle lui demande « Est-ce que je suis une bonne suceuse ? » « Tu es parfaite, bébé, mais il est temps de conclure : allongez-vous, je vais vous prendre en enfilade». Il commence par moi, en me pénétrant d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Après de longues minutes, il s’arrête pour passer à Andrée et finir avec Hélène.
Puis il revient me sodomiser : son sexe entre tout seul,
tellement il est lubrifié. Il retourne ensuite satisfaire mes deux copines,
encore dur comme du béton.
Il termine par Hélène et, presque épuisé, il nous dit : « Il est
temps de conclure. Venez me sucer ».
A tour de rôle, nous le prenons à pleine bouche jusqu’à ce qu’il nous arrête par un : « Attention, je vais éjaculer ! ».
Nous restons à genoux devant lui pendant qu’il commence à se masturber. Puis, sans crier gare, un jet de sperme vient frapper le visage d’Hélène puis s’écoule sur ses seins … La chanceuse ! Une hardeuse dans un film X !! Il ne nous est resté que des dernières gouttes …
« Alors, heureuses ? C’est mieux qu’avec vos mecs, non ? Et j’ai encore bien d’autres choses à vous appendre … Mais vous m’avez épuisé !! … Le guerrier a bien mérité son repos ! ».
Ce soir là nous recevions Bruno, car mon épouse voulait offrir une partie à trois à cet ami accablé par un ensemble de problèmes. Elle était tellement désireuse de le faire que je n’ai pas su lui refuser. En outre, j’avoue que ça m’excitait un peu …
La voilà donc assise dans le canapé à côté de Bruno, qui la prend dans ses bras et se met à l’embrasser goulument : je sens très vite une jouissance me gagner, et je glisse une main dans mon slip pour empoigner mon sexe déjà en érection et commencer à le masturber.
De la même façon, mon épouse pose sa main sur le sexe de Bruno, qui du coup enlève le bas et se plante devant-elle, ce qui nous déstabilise un peu ! Il était en effet bien membré, et on n’avait jamais eu l’occasion de le voir … Le reste de son corps, bâti comme une armoire à glace, et son crâne rasé plaisaient bien aussi à mon épouse. Face à ses gros testicules, son sexe très tendu et son gland bien gonflé, je ne fais pas le poids !
Alors Bruno se laisse caresser les fesses et demande une fellation : j’ai la désagréable impression que mon épouse y prend plus de plaisir qu’avec moi … Elle procède à une masturbation tout en suçant le gland. A force de sentir cette douce chaleur, Bruno ne va certainement pas tarder à éjaculer. Elle accélère le rythme, empoigne ses testicules tout en regardant son visage qui se crispe peu à peu. Il lui dit : « Vas-y, vas-y … » et j’ajoute : « Oui, c’est une bonne suceuse ». A ce moment, je n’ai pu m’empêcher de ressentir une certaine jalousie. C’est une fellation à pleine bouche, qui le fait renchérir : « C’est bien, continue, il y a longtemps que j’ai envie de te faire l’amour ». Oui, décidément, il a un sexe comme les femmes les aiment, et la scène me pousse à activer ma propre masturbation … Bruno, quant à lui, essaie de maintenir le visage de mon épouse plaqué sur son pubis, puis subitement il dit : « Ca y est, je vais tout lâcher ». Effectivement, son corps se tend, il pousse un cri et éjacule. Mon épouse se dégage, le regarde, et elle reçoit alors les derniers jets de son sperme chaud tandis que sa bouche laisse échapper la semence déjà reçue … Bruno nous remercie alors tous les deux pour ce que nous lui avons offert.
Puis mon épouse me dit, en regardant mon pantalon gonflé : « Tu as besoin de relâcher ta tension ! ». Impossible de le nier … J’enlève donc à mon tour le bas et la fellation commence, rendant mon sexe encore plus raide. Quelle douceur ! Je me sens pleinement détendu, sur un petit nuage : son plaisir, la montée de sa jouissance me font plaisir, je finis par éjaculer violemment. Elle se lèche les lèvres pour ramasser mon sperme.
Et moi, j’ai encore envie d’elle, mon sexe toujours gonflé rêve d’une bonne sodomie. Je caresse ses fesses douces et musclées, puis je glisse mon gland jusqu’à son anus et je crache dessus pour entamer un doigtage avec un puis deux doigts.
Ensuite, j’introduis lentement mon sexe : ça m’excite que mon épouse tourne la tête pour me regarder. Me voici arrivé à fond, sans difficulté particulière car nous pratiquons régulièrement la sodomie. J’accélère le rythme et elle commence à crier. Je lui demande : « Tu sens bien ma queue ? » « Oui, je la sens vraiment bien » Je rajoute : « Tu es bonne toi, j’ai envie de te satisfaire » et je la pilonne de plus belle pour finalement lui lâcher une belle giclée.
Comme nous méritons tous un peu de repos, nous décidons de boire un verre, avec mon épouse entre nous-deux. Mais elle nous quitte rapidement, du sperme sortant de son corps. Très excité, Bruno me dit : « Je suis scotché : elle cache bien son jeu ! ». Je lui réponds : « A vrai dire, elle n’est pas comme ça d’habitude ». Du coup, il me demande si elle n’aurait pas un amant. Je le rassure sur sa fidélité et il conclue : « Quoi qu’il en soit, c’est bien comme ça ! ». Le problème, c’est qu’il ne part pas, alors que j’aimerais rester en tête à tête avec mon épouse. Il n’a pourtant plus rien à éjaculer ! Par contre, il va se soulager pendant que je termine tout seul mon verre.
Au bout d’un moment, ne voyant personne revenir, je me dirige vers la salle de douche, dont la porte est fermée, mais j’entends Bruno dire : « J’ai toujours envie de te faire l’amour ! », et mon épouse qui lui répond : « Oui, vas-y ». Du coup, j’ouvre la porte et, surprise : elle est en train de se faire sodomiser ! Je leur demande alors d’arrêter pour qu’on puisse se retrouver seuls, mais Bruno me lance : « Laisse tomber, tu vois bien qu’elle aime ça ». C’est vrai que son visage, ses yeux rivés au plafond, ses cris révèlent sa jouissance et, sans plus s’occuper de moi, il continue à la lui mettre bien profond. Quelques instants plus tard, il ajoute : « Que veux-tu, c’est une baiseuse. Tu ne vas pas t’en plaindre, quand même !». Puis, un peu irrité, il ordonne à mon épouse de me refaire une fellation.
Elle se place face à moi, me lèche le gland et, très vite, je retrouve une érection, tandis que Bruno reprend la sodomie en se claquant bruyamment sur ses fesses et en commentant : « C’est aussi une bonne suceuse ». C’est vrai que je suis assez fier de voir l’énergie qu’elle développe pour me faire jouir, et de nouveau je lui éjacule dans la bouche. Quelques instants plus tard, arcbouté sur elle, Bruno fait de même. Je vois l’extase dans le regard de mon épouse …
Pour tout vous dire, une fois notre invité enfin parti, nous avons remis ça une dernière fois dans notre lit !
C’était le début de la soirée, et j’étais en train de prendre l’air dans mon jardin quand j’ai entendu sonner. C’était Sylvain, qui venait voir ma fille, mais elle était absente. Bien qu’il n’avait qu’à peine 18 ans, je savais qu’il aurait bien aimé me faire l’amour : c’est donc consciemment que je l’ai invité à entrer pour boire un jus de fruit. Me trouver seule avec lui, dans une petite robe légère, faisait battre mon cœur beaucoup plus vite … J’aurais pu faire le premier pas, mais je ne le voulais pas.
Nous étions tous les deux dans la cuisine. Après avoir rempli les verres, je l’ai regardé droit dans les yeux un instant, puis je lui ai dit : « Tu peux me faire l’amour si tu veux ».
Je l'ai laissé poser les mains sur moi et le plaisir a déjà commencé à m'envahir, d'autant que je n'avais plus eu de relations depuis longtemps ... Il m'a caressé les fesses en tremblant un peu, puis, comme j'avais envie de lui, je l'ai emmené dans la chambre.
En jouant maladroitement à l'homme expérimenté, il m'a enlevé ma robe et je me suis allongée. Après avoir longuement contemplé mes seins, il a caressé mon ventre, ce qui a décuplé mon plaisir. Me voyant réceptive, il m'a retiré ma culotte puis m'a léché le sexe. Je lui tenais la tête plaquée contre moi et, comme j'approchais de l'orgasme, je lui ai proposé un préservatif.
Je ne savais plus où j'en étais : vous imaginez, au lit avec un copain de ma fille ! Quand il s'est allongé de tout son poids sur moi, j'ai remonté les genoux sur les épaules comme pour recevoir un amant confirmé. J'ai senti la chaleur monter au fur et à mesure que son sexe avançait dans mon vagin : c'est drôle comme un encore presque ado peut nous faire jouir ... Je dois préciser que j'étais peu habituée à avoir des orgasmes, mais avec lui c'était en bonne voie ! Il me prenait comme un animal, de façon très saccadée, et tout mon bas-ventre en était contracté : il en avait conscience et a voulu continuer dans une autre position. Comment aurais-je pu lui refuser ?
Alors je me suis mise en levrette, le dos bien cambré : il s'est agrippé à moi et m'a enfoncé son pieux dans le vagin. J'étais une vraie garce, et ça m'a fait plaisir ... Je me suis regardée dans le miroir de la garde-robes, et ça m'a excitée de me voir traitée comme une chienne par un jeune garçon quasiment inconnu : si un jour on m'avait dit ça ! Puis, d'un seul coup, un orgasme a envahi mon corps : j'ai senti que je lubrifiais un max, j'étais totalement offerte et il me disait : "Vas-y, crie !". Il a alors eu une forte éjaculation et son sexe gonflé à bloc a dilaté mon vagin, m'apportant une extase sans nom. J'étais plutôt flattée d'avoir su séduire un aussi jeune homme et ça me rendait très heureuse. Nous sommes allés ensuite prendre un bain et je n'ai pu m'empêcher de le faire jouir une dernière fois en le masturbant ...
Après une soirée un peu arrosée passée chez lui, mon ami Mohamed m’a proposé, ainsi qu’à un autre invité, Youssef, de rester dormir sur place.
Avant d’aller nous coucher, il nous a offert un dernier verre, que je n’ai pas osé refuser … ce qui m’a rendue définitivement pompette ! Mohamed et Youssef me regardaient, tout en parlant en arabe. A mon avis, ils en voulaient à mon décolleté ! J’ai donc enlevé un bouton de plus prétextant que j’avais chaud.
Youssef me dit alors : « Vous êtes très bien faite ! ». Je lui réponds : « Merci, mais j’ai quelqu’un dans ma vie … ». Cela ne l’empêche pas de venir à côté de moi et d’ajouter : « Vous devez être agréable à regarder déshabillée ». Un peu inquiète quand même, je réponds : « Peut-être … ». Mais son regard braqué sur moi et son physique attractif m’excitent aussi beaucoup.
Et là Youssef tente le coup de déboutonner mon chemisier : je le laisse faire. Il a admiré ma poitrine à peine dissimulée par mon soutien-gorge noir, qu’il s’est empressé de m’enlever après m’avoir rapidement palpé les seins. Mes mamelons, bien pigmentés, étaient déjà complètement en érection. Je les lui ai mis sous le nez alors que ses mains commençaient à se faire baladeuses.
Puis il m’a embrassé les lèvres entrouvertes et nous avons mis tous les deux la langue : c’était clairement parti, et je me suis laissée faire. Il a pris ma main pour la poser sur son sexe déjà en érection : j’ai alors ouvert son pantalon pour en sortir un membre d’une vingtaine de centimètres, gros et bien raide … bref, un sexe d’Arabe. Voyant que je le contemplais sans plus bouger, il m’a demandé si ça m’intimidait : pas vraiment, mais je n’en vois pas des comme ça tous les jours ! Alors, sur un ton impératif, il m’a dit de lui faire une fellation : je me suis exécutée en me mettant à genoux et en commençant à lui sucer le gland lentement. Son sexe prenait encore plus de volume et je l’avais maintenant à pleine bouche ; ma respiration devenait difficile. J’essayais quand même de poursuivre un va-et-vient. Youssef ne quittait pas des yeux son formidable sexe et le plaisir qu’il me procurait. Tout en prenant ma tête dans ses mains, il m’a félicité et m’a demandé de lui prendre les testicules dans la bouche …
C’est alors que Mohamed est venu derrière moi et m’a retiré ma jupe … j’étais dans une position très offerte, qui ne peut que tenter ! Il m’a caressé les cuisses, de l’extérieur vers l’intérieur, pour ensuite essayer d’enlever mon string : j’ai eu un instant d’hésitation, mais il a imposé sa volonté. Après m’avoir caressée encore une fois, il a entamé un cunnilingus qui m’a mis le clitoris en érection.
J’ai écarté progressivement les cuisses au fur et à mesure que je mouillais et que Mohamed léchait cette sécrétion. Puis je lui ai dit que j’avais envie de lui : alors il m’a caressé les fesses, que j’ai douces et bien musclées, les a écartées pour regarder mon anus, et a continué en se frottant le gland contre mon sexe et en lançant : « Je crois qu’elle a envie de moi ». Alors Youssef lui a répondu : « Qu’est-ce que tu attends ? »
Du coup il m’a pénétrée et je n’ai pu retenir mes gémissements. Mais il s’est vite retiré pour revenir de plus belle, ce qui m’a donné beaucoup de plaisir. Même si son sexe n’était pas spécialement grand, il me travaillait bien, car il était très raide. Il a recommencé plusieurs fois à se retirer et à rentrer encore plus sauvagement, ce qui a fait monter ma jouissance. Aussi, quand il m’a félicité pour mon sexe bien poilu et que Youssef m’a dit : « Et toi, tu aimes les Arabes ? », j’ai lâché : « Oui, vous êtes de vrais chiens ! ».
Les pénétrations devenaient profondes, et j’approchais de l’orgasme : Mohamed était un merveilleux amant, je ne savais plus où j’étais … ses coups de pilon me faisaient d’ailleurs négliger le sexe de Youssef, qui me l’a fait remarquer !
Alors j’ai pris ce membre bien proportionné et raide à pleine bouche, puis j’ai léché et sucé son gland : ça m’a changée du petit sexe de mon compagnon ! Bref, on s’éclatait un max ! Bientôt, Youssef, au bord de l’orgasme, a lâché : « Je ne vais plus pouvoir tenir » … et il m’a inondé la bouche : le visage quasiment écrasé sur son pubis, j’ai avalé son sperme chaud pour ne pas être asphyxiée. Il a eu en fait plusieurs éjaculations, puis j’ai repris la fellation pendant qu’il retrouvait son calme tout en me complimentant.
Probablement excité par la scène, Mohamed a joui à son tour en me balançant sa giclée : criant de plaisir, j’ai eu alors plusieurs orgasmes coup sur coup, qui m’ont laissée en levrette, totalement épuisée … Mes deux partenaires se sont retirés, même si mon amour du sexe leur donnait certainement envie de continuer !
Normalement, je ne sors que là où il y a des jeunes, mais, le mois dernier, je me suis retrouvée dans un café de vieux. Je les ai dévisagés à tour de rôle et je me suis dit que j’aimerais bien voir ce que ça fait d’avoir des relations avec un vieux. Du coup, je me suis approché de l’un d’eux pour engager la conversation et, comme ça se passait plutôt bien, je lui ai proposé de venir chez moi.
On a d’abord continué à parler gentiment, lui de sa femme, moi de mes copains. Puis, ne pouvant plus me retenir, j’ai lâché : « J’aimerais bien voir ton sexe ». Il a paru déstabilisé et, comme il ne répondait pas, je lui ai proposé en échange de le laisser regarder mes seins (qui sont très biens !). Le silence durant, j’ai pris l’initiative d’enlever mon chemisier : toujours pas d’effet. Je m’impatiente et lui dis : « Allez, sors-le ». Il était plutôt pétrifié. Alors j’ai dégrafé mon soutien-gorge et j’ai commencé à me caresser les seins en l’invitant à m’exciter les mamelons avec son sexe. Je prenais des positions de plus en plus provocantes et j’en suis arrivée à enlever aussi ma jupe. Et là, miracle : il retire pantalon et slip et, comme son sexe était peu gonflé, il commence une masturbation.
C’est la première fois que je voyais le sexe d’un vieux : sans quitter des yeux son engin propret et ses deux petits testicules, j’ai glissé une main dans ma culotte pour me stimuler le clitoris. J’avoue que j’avais bien envie de prendre son sexe : je lui ai donc proposé une fellation. Toujours sans dire un mot, il s’est approché de moi : son sexe n’était pas encore très raide, mais ça commençait à ressembler à quelque chose. Le gland était assez gonflé et en partie décalotté. Oui, il ne s’en tirait pas trop mal.
En ce qui me concerne, je reconnais bien volontiers ne pas être une experte de la fellation, et ne pas trop la pratiquer : mais bon, ça n’empêche pas d’avoir envie … J’ai donc commencé par lui faire quelques suçons, puis je lui ai pris le gland dans la bouche. Et là, surprise : son sexe s’est bien raidi ! Mais, au lieu de rester, il s’est retiré et a recommencé à se masturber. J’ai attendu de voir ce qu’il voulait : l’attente ne fut pas longue, puisque j’ai bientôt reçu une projection de sperme. Que j’aime cette odeur ! Quelques secondes plus tard, il m’a de nouveau éjaculé sur le visage, mais pas très fortement : normal à son âge … Mais ça m’a quand même bien plu.
J'avais depuis longtemps l'envie d'un trio avec ma compagne, Christine, et un autre homme. J'en avais donc parlé à une connaissance, Pascal, d'origine tunisienne, qui était d'accord. Ayant enfin choisi le jour J, je lui avais demandé de se tenir prêt à venir au premier appel, afin de ne pas trop laisser le temps à ma compagne de réfléchir ...
Donc, à un moment où nous allions passer à la vitesse supérieure après quelques baisers, je lui propose un alcool fort et lui expose mon souhait : tombant des nues, elle semble plutôt apeurée, ce qui m'oblige à ramer pour lui faire accepter cette idée. Puis je la brusque un peu en lui disant que Pascal est un homme respectueux, discret, et que l'on va encore plus s'aimer ... et je décroche mon téléphone !
Dix minutes plus tard, Pascal entre dans la maison : Christine semble plus résignée que convaincue. Comme chacun attend on ne sait pas quoi, je leur dis : "Allez, soyez pas timides". Pascal s'approche de Christine, commence à l'embrasser, puis à la serrer de plus prés. Je m'approche d'elle à mon tour pour l'embrasser aussi, je lui enlève son tee-shirt et, après lui avoir dit de se tourner vers Pascal, j'ai dégrafé son soutien-gorge pour exposer ses très beaux seins. Pascal s'avance pour lui prendre un sein en pleine main, puis son autre main descend sur les fesses pendant que je m'occupe des épaules. Coincée entre nous-deux, Christine ne peut refuser mes baisers, ni les lèvres de Pascal qui viennent attraper un mamelon : la rougeur arrive sur son visage ... J'indique alors où est la chambre à Pascal et Christine suit sans faire de difficultés.
Elle s'allonge sur le lit, je lui enlève son jean, dévoilant ainsi ses jambes bien dessinées et son petit slip rouge. Elle parait plus détendue, et nous commençons à lui caresser les cuisses. Pascal se met ensuite à lui sucer les seins, pendant que j'entame un cunnilingus, pour ensuite lui lécher tout le sexe. Christine a le souffle de plus en plus court. Alors Pascal se déshabille et s'installe sur sa poitrine avec son grand sexe en érection : il ne faut pas longtemps à Christine pour lui prendre à pleine bouche. Personnellement, je continue à exciter son clitoris : elle commence à tordre ses hanches, au point d'abandonner sa fellation pour laisser sa tête tourner d'un côté et de l'autre ... Mais Pascal ne veut pas en rester là et il lui remet de force tout son sexe dans la bouche ! Stimulé à mon tour, je lui relève les jambes pour passer à un anulingus, suivi d'une sodomie avec un doigt. Pascal se retire alors pour me regarder faire et apprécier l'orgasme qui vient.
Pour encore amplifier notre plaisir, je dis à Christine de se mettre en position pour une levrette : Pascal se masturbe pendant que je la prends brutalement. Puis je lui laisse la place en disant à Christine : "Ca te fait envie, hein ? Tu mouilles là, tu n'a pas l'habitude des gros sexes !". Elle ne répond pas, mais je sais qu'elle apprécie : le premier cri ne tarde pas, il sort régulièrement son sexe pour le replacer encore plus profondément ... Christine est presque exténuée, mais quand je lui demande de me sucer, elle le fait sans rechigner, plongée dans la jouissance. Bien que toujours en érection, Pascal s'arrête et vient s'allonger sur le lit. Christine doit penser qu'il veut une Andromaque : elle se met sur lui, les mains sur sa poitrine, enfonce son sexe dans son vagin et commence à s'agiter frénétiquement. Je lui caresse les fesses, tandis qu'elle vient rapidement à haleter et que Pascal a du mal à se retenir : elle est maintenant libérée et ses fesses claquent bruyamment.
Je lui dis alors : "Allez, on va en finir !". Je la cambre au maximum et j'entame une sodomie bien profonde, mais d'abord lentement, le temps d'assouplir l'anus. Les cris viennent progressivement et Pascal se place pour une pénétration vaginale. Avec deux sexes en elle, ses cris se rapprochent de plus en plus. Nous accélérons tous les deux le mouvement : les yeux clos, Christine, à moitié asphyxiée, déclenche orgasme sur orgasme, Pascal éjacule violemment ... Alors je m'arrête et je mets mon sexe bien raide devant le visage de Christine : elle commence une fellation comme par automatisme, mais je ne peux plus rien contrôler et je lui lâche mon sperme au fond de la gorge ... Puis je lui dis : "C'est bien, tu peux aller te refaire une beauté". Elle part dans la salle de bain, nous nous rhabillons et voilà : c'est fini !